Cet instituteur chevronné pratique depuis plus de 12 ans l'activité de préparation interactive d'exposés à présenter devant la classe.
Il démontre ici combien les conditions d'apprentissage, les démarches et les types de pédagogie pratiqués en classe influencent considérablement les acquisitions des élèves, tant au niveau cognitif qu'au niveau des savoir-faire comportementaux. Sa pratique professionnelle s'appuie sur les théories pédagogiques du GBEN (Groupe belge d'éducation nouvelle) avec l'auto-socio-construction du savoir et la pratique du "Chef-d'oeuvre pédagogique".
Il nous livre ici un livre précieux, très concret sur le plan de sa pratique professionnelle dans laquelle il met en relation les trois axes fondamentaux qui nourrissent sa démarche : l'axe philosophique, l'axe didactique et l'axe pédagogique.
A retenir, les 60 consignes élaborées au fil des années, certaines étant obligatoires, d'autres, facultatives, laissées au libre choix des élèves. Les balises du cheminement à parcourir et de l'apprentissage sont clairement posées.
Léonard Guillaume met l'accent sur l'importance de la socialisation des savoirs et montre comment initier les élèves aux compétences nécessaires.
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Cet ouvrage s'adresse aux enseignants des deux dernières années du primaire et à ceux du premier degré du secondaire. Il leur propose vingt séquences de travail à caractère ludique qui privilégient le travail en groupe. Elles visent à enrichir le vocabulaire, à améliorer l'expression orale et écrite, à développer les habiletés de lecture et les capacités de recherche et de raisonnement logique. Le matériel nécessaire au déroulement des activités (illustrations, listes, textes, consignes, etc.) est fournit sous forme de fiches à photocopier.[-]

La sémiotique touchant une diversité de signes différents, Eco a élaboré une classification qui distingue notamment les signes artificiels des signes naturels, auxquels nous nous limitons dans ce chapitre. Les signes naturels se divisent en deux classes : (1) les signes identifiés avec des choses ou des événements naturels (ex. : la position du soleil); (2) les signes émis inconsciemment par un agent humain (ex. : des boutons indiquant une varicelle) (cette classe comporte plusieurs sous-classes). Il en va de même avec les signes artificiels, qui sont ou (1) produits explicitement pour signifier (ex. : l'aboiement d'un chien), ou (2) produits explicitement comme fonction première (ex. : une chaise pour s'asseoir), seconde (ex. : un collier en diamants pour la richesse), mixte (ex. : un uniforme de policier, pour à la fois couvrir et indiquer une fonction sociale). La suite sur http://www.signosemio.com/eco/processus-semiotique-et-classification-des-signes.asp[-]