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Les Liens qui Libèrent

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y
- 72 p.
Cote : ISP EXCL galb
Quatre textes composent ce recueil.

1. Une préface de Sege Halimi qui explique que l'analyse suivante n'a pas pris une ride
2. L'art d'ignorer les pauvres, un article de J.K. GALBRAITH paru en 1985 et publié (en français) en 2005 dans Le Monde diplomatique dont voici un extrait représentatif :
"Je voudrais livrer ici quelques réflexions sur l'un des plus anciens exercices humains: le processus par lequel, au fil des années, et même au cours des siècles, nous avons entrepris de nous épargner toute mauvaise conscience au sujet des pauvres. Pauvres et riches ont toujours vécu côte à côte, toujours inconfortablement, parfois de manière périlleuse... Les problèmes résultant de cette coexistence, et particulièrement celui de la justification de la bonne fortune de quelques-un face à la mauvaise fortune des autres, sont une préoccupation intellectuelle de tous les temps. Ils continuent de l'être aujourd'hui."
3. Economistes en guerre contre les chômeurs de Laurent Cordonnier, qui dénonce la chasse aux pauvres et les politiques d'activation de l'emploi
4. Du bon usage du cannibalisme de
Jonathan Swift dont la thèse d'un parfait cynisme est la suivante : élever les pauvres afin de fournir leurs enfants à la boucherie les rendrait enfin utiles tout en améliorant la nourriture des plus aisés. [-]
Quatre textes composent ce recueil.

1. Une préface de Sege Halimi qui explique que l'analyse suivante n'a pas pris une ride
2. L'art d'ignorer les pauvres, un article de J.K. GALBRAITH paru en 1985 et publié (en français) en 2005 dans Le Monde diplomatique dont voici un extrait représentatif :
"Je voudrais livrer ici quelques réflexions sur l'un des plus anciens exercices humains: le processus par lequel, au fil des années, et même au cours ...[+]

PAUVRETE ; DISCRIMINATION SOCIALE ; CHOMAGE

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y
- 650 p.
Cote : DIV SC-HUM rifk
Commentaire de Denis Clerc paru in http://www.alternatives-economiques.fr/une-nouvelle-conscience-pour-un-monde-en-crise--civilisation-de-l-empathie_fr_ar
Il y a des livres comme celui-ci qu'on hésite à aborder : leur taille, leur titre peu attractif, un ouvrage précédent peu convaincant du même auteur... Mais on s'y lance quand même, par sens du devoir ou scrupule intellectuel, convaincu qu'il vous tombera des mains peu après et qu'on le refermera alors sans regret. Surprise : on se retrouve " scotché " et on ne l'abandonne que 600 pages après, au terme d'une lecture qui, contre toute attente, s'est révélée originale, instructive et stimulante, même si elle ne nous a pas totalement convaincu.
Empathie et entropie
La thèse ? Les sociétés humaines, depuis l'origine, ont évolué dans le sens d'une plus grande empathie entre leurs membres. L'empathie, c'est cette capacité à se mettre à la place de l'autre, au point que sa douleur nous affecte, que son bonheur nous réjouit. C'est l'empathie qui nous pousse à rechercher chez l'autre " compagnie, affection, intimité ". C'est l'empathie qui permet aux sociétés humaines de passer des liens du sang aux liens d'association. En un mot, l'empathie est à la base de ce que nous nommons " civilisation ".
Le problème est que, dans l'évolution de nos sociétés, ce principe n'est pas seul à jouer. Un autre est à l'oeuvre, d'une nature totalement différente. Les constructions humaines ont besoin d'autant plus d'énergie qu'elles sont plus complexes. Mais elles engendrent alors de l'entropie, c'est-à-dire du désordre, car l'énergie croissante dont elles usent n'est plus réutilisable et les sources d'énergie existantes deviennent insuffisantes pour faire face à des besoins accrus, provoquant alors un risque d'effondrement de la " montée empathique ". Ainsi, la Renaissance aurait sans doute capoté au XVIIIe siècle si le charbon, puis le pétrole n'avaient permis de poursuivre la modernisation dont elle était à l'origine. Bref, empathie et entropie vont de pair, l'une pour avancer, l'autre pour contraindre.
Criminel
Mais aujourd'hui, avec le réchauffement climatique et l'épuisement progressif de l'énergie fossile, l'entropie reprend le dessus. A moins que, face à la nouvelle contrainte, l'humanité adopte une " conscience biosphérique dans une économie climax ". Traduisons : forte réduction de nos consommations énergétiques associée au développement d'énergies renouvelables totalement décentralisées, chacun devenant à la fois producteur et consommateur d'énergie. Ce qui n'est pas gagné, car cela implique de dépasser l'économie de marché et de s'appuyer sur la coopération davantage que sur la concurrence.
Ainsi résumée, la thèse paraît soit un peu naïve, soit mécaniste. Mais - et c'est ce qui explique la taille du livre -, elle prend appui sur une époustouflante diversité d'approches et de connaissances, allant de la psychanalyse à la littérature, en passant évidemment par l'histoire des techniques ou celle des croyances, qui la rend convaincante. Enfin, presque. Car ce XXe siècle, censé être le plus empathique de tous, a été aussi le plus criminel : la complexité de nos sociétés a fait naître les armes de destruction de masse et les camps de la mort autant que l'empathie, ces deux mouvements allant de pair. Il y a, chez Rifkin, un présupposé optimiste qui l'amène à refuser de voir la part d'ombre que nos " civilisations " portent en elles : l'autre peut devenir plus proche, mais il peut aussi devenir un ennemi, la complexité peut mener à l'empathie, mais aussi aux massacres aveugles, à la reconnaissance de l'autre, mais aussi à sa négation. C'est ce qui fait la limite d'un livre par ailleurs passionnant.
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Commentaire de Denis Clerc paru in http://www.alternatives-economiques.fr/une-nouvelle-conscience-pour-un-monde-en-crise--civilisation-de-l-empathie_fr_ar
Il y a des livres comme celui-ci qu'on hésite à aborder : leur taille, leur titre peu attractif, un ouvrage précédent peu convaincant du même auteur... Mais on s'y lance quand même, par sens du devoir ou scrupule intellectuel, convaincu qu'il vous tombera des mains peu après et qu'on le ...[+]

RELATIONS INTERPERSONNELLES ; PROJET DE SOCIETE ; HISTOIRE ; MONDIALISATION ; ENVIRONNEMENT ; ECONOMIE ; CONSCIENTISATION ; MEDIAS DE MASSE ; COOPERATION

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y
- 160 p.
Cote : T CIT att
Publié à l'occasion des vingt ans d'Attac, ce livre se lit comme l'histoire (en train de se faire) des résistances et des alternatives en faveur d'un monde juste, écologique, démocratique et solidaire. Au détour des pages, des images donnent vie aux événements, aux mobilisations et aux actions menées par l'association altermondialiste et ses partenaires au long de ces vingt dernières années.
Il s'agit ici de se réapproprier les mots et le désir d'agir qui fondent la possibilité d'un autre monde.[-]
Publié à l'occasion des vingt ans d'Attac, ce livre se lit comme l'histoire (en train de se faire) des résistances et des alternatives en faveur d'un monde juste, écologique, démocratique et solidaire. Au détour des pages, des images donnent vie aux événements, aux mobilisations et aux actions menées par l'association altermondialiste et ses partenaires au long de ces vingt dernières années.
Il s'agit ici de se réapproprier les mots et le désir ...[+]

ACTION COMMUNAUTAIRE ; POLITIQUE ; CITOYENNETE ; ENVIRONNEMENT ; PROJET DE SOCIETE

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y
- 76 p.
Cote : DIV ECO mani
Ce petit livre, disponible gratuitement su Internet, prend à contre pied 10 fausses évidences économiques qui sont :

les marchés financiers sont efficients,
les marchés financiers sont favorables à la croissance économique,
les marchés sont de bons juges de la solvabilité des états,
l'envolée des dettes publiques résulte d'un excès de dépenses,
il faut réduire les dépenses pour réduire la dette publique,
la dette publique reporte le prix de nos excès sur nos petits-enfants,
il faut rassurer les marchés financiers pour pouvoir financer la dette publique,
l'union européenne défend le modèle social européen,
l'euro est un bouclier contre la crise,
la crise grecque a enfin permis d'avancer vers un gouvernement économique et une vraie solidarité européenne.

Le but avoué n'est pas donner des réponses à toutes ces questions même si des mesures précises sont soumises à la critique en face de chacune de ces fausses évidences. Les décisions sont du domaine du politique, mais les économistes signataires de ce manifeste veulent permettre au citoyen d'avoir un avis critique sur ces sujets qui seront certainement au coeur du débat politique de 2012 (et arpès). La crise économique de 2008 a mis au jour les faiblesses du sacro-saint ultra-libéralisme économique dont les marchés financiers et certains lobbys à Bruxelles sont les dépositaires : aux citoyens européens, par l'intermédiaire de leurs représentants de faire basculer la construction européenne vers un autre horizon. Mais premier pas pour le citoyen : l'information objective et non les grands poncifs qui refusent les débats démocratiques.
Les mesures proposées sont :

Pour réduire l'inefficience et l'instabilité des marchés financiers :

Mesure n°1 : cloisonner strictement les marchés financiers et les activités des acteurs financiers, interdire aux banques de spéculer pour leur compte propre, pour éviter la propagation des bulles et des krachs

Mesure n°2 : Réduire la liquidité et la spéculation déstabilisatrice par des contrôles sur les mouvements de capitaux et des taxes sur les transactions financières

Mesure n°3 : limiter les transactions financières à celles répondant aux besoins de l'économie réelle (ex. : CDS uniquement pour les détenteurs des titres assurés, etc.)

Mesure n°4 : plafonner la rémunération des traders

Pour remédier aux effets négatifs des marchés financiers sur l'activité économique nous mettons en débat trois mesures :

Mesure n°5 : renforcer significativement les contre-pouvoirs dans les entreprises pour obliger les directions à prendre en compte les intérêts de l'ensemble des parties prenantes

Mesure n°6 : accroître fortement l'imposition des très hauts revenus pour décourager la course aux rendements insoutenables

Mesure n°7 : réduire la dépendance des entreprises vis-à-vis des marchés financiers, en développant une politique publique du crédit (taux préférentiels pour les activités prioritaires au plan social et environnemental)

Pour réduire l'emprise de la psychologie des marchés sur le financement des États nous mettons en débat deux mesures :

Mesure n°8 : les agences de notation financière ne doivent pas être autorisées à peser arbitrairement sur les taux d'intérêt des marchés obligataires en dégradant la note d'un État : on devrait réglementer leur activité en exigeant que cette note résulte d'un calcul économique transparent.

Mesure n°8bis : affranchir les États de la menace des marchés financiers en garantissant le rachat des titres publiques par la BCE.

Pour restaurer un débat public informé sur l'origine de la dette et donc les moyens d'y remédier nous mettons en débat une proposition :

Mesure n° 9 : Réaliser un audit public et citoyen des dettes publiques, pour déterminer leur origine et connaître l'identité des principaux détenteurs de titres de la dette et les montants détenus.

Pour éviter que le rétablissement des finances publiques ne provoque un désastre social et politique nous mettons en débat deux mesures :

Mesure n°10 : Maintenir le niveau des protections sociales, voire les améliorer (assurance-chômage, logement...) ;

Mesure n°11 : accroître l'effort budgétaire en matière d'éducation, de recherche, d'investissements dans la reconversion écologique... pour mettre en place les conditions d'une croissance soutenable, permettant une forte baisse du chômage.

Pour redresser de façon équitable les finances publiques en Europe et en France nous mettons en débat deux mesures :

Mesure n°12 : redonner un caractère fortement redistributif à la fiscalité directe sur les revenus (suppression des niches, création de nouvelles tranches et augmentation des taux de l'impôt sur le revenu...)

Mesure n°13 : supprimer les exonérations consenties aux entreprises sans effets suffisants sur l'emploi

Pour remédier au problème de la dette publique nous mettons en débat deux mesures :

Mesure n°14 : autoriser la Banque centrale européenne à financer directement les États (ou à imposer aux banques commerciales de souscrire à l'émission d'obligations publiques) à bas taux d'intérêt, desserrant ainsi le carcan dans lequel les marchés financiers les étreignent

Mesure n°15 : si nécessaire, restructurer la dette publique, par exemple en plafonnant le service de la dette publique à un certain % du PIB, et en opérant une discrimination entre les créanciers selon le volume des titres qu'ils détiennent : les très gros rentiers (particuliers ou institutions) doivent consentir un allongement sensible du profil de la dette, voire des annulations partielles ou totales. Il faut aussi renégocier les taux d'intérêt exorbitants des titres émis par les pays en difficulté depuis la crise.

Pour que l'Europe puisse promouvoir véritablement un modèle social européen, nous mettons en débat deux mesures :
Mesure n°16 : remettre en cause la libre circulation des capitaux et des marchandises entre l'Union européenne et le reste du monde, en négociant des accords multilatéraux ou bilatéraux si nécessaire

Mesure n°17 : au lieu de la politique de concurrence, faire de « l'harmonisation dans le progrès » le fil directeur de la construction européenne. Mettre en place des objectifs communs à portée contraignante en matière de progrès social comme en matière macroéconomique (des GOPS, grandes orientations de politique sociale)

Pour que l'euro puisse réellement protéger les citoyens européens de la crise nous mettons en débat deux mesures :

Mesure n°18 : assurer une véritable coordination des politiques macroéconomiques et une réduction concertée des déséquilibres commerciaux entre pays européens

Mesure n°19 : compenser les déséquilibres de paiements en Europe par une Banque de Règlements (organisant les prêts entre pays européens)

Mesure n°20 : si la crise de l'euro mène à son éclatement, et en attendant la montée en régime du budget européen (cf. infra), établir un régime monétaire intraeuropéen (monnaie commune de type « bancor ») qui organise la résorption des déséquilibres des balances commerciales au sein de l'Europe

Pour avancer vers un véritable gouvernement économique et une solidarité européenne nous mettons en débat deux mesures :

Mesure n°21 : développer une fiscalité européenne (taxe carbone, impôt sur les bénéfices, ...) et un véritable budget européen pour aider à la convergence des économies et tendre vers une égalisation des conditions d'accès aux services publics et sociaux dans les divers États membres sur la base des meilleures pratiques.

Mesure n°22 : lancer un vaste plan européen, financé par souscription auprès du public à taux d'intérêt faible mais garanti, et/ou par création monétaire de la BCE, pour engager la reconversion écologique de l'économie européenne. [-]
Ce petit livre, disponible gratuitement su Internet, prend à contre pied 10 fausses évidences économiques qui sont :

les marchés financiers sont efficients,
les marchés financiers sont favorables à la croissance économique,
les marchés sont de bons juges de la solvabilité des états,
l'envolée des dettes publiques résulte d'un excès de dépenses,
il faut réduire les dépenses pour réduire la dette publique,
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CAPITALISME ; CONDITIONS ECONOMIQUES ; POLITIQUE SOCIALE

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Serial social VIVIAND Elise | L L L 2014

Ouvrage

- 160 p.
Cote : DIV TRVSOC viv
"... l'assistante sociale aime les gens mais déteste ce qu'elle doit défendre : des moyens inexistants, des fonctionnements abrutissants, des politiques délirantes..."





TRAVAIL SOCIAL ; PAUVRETE ; ETHIQUE PROFESSIONNELLE ; RELATIONS INTERPERSONNELLES ; MILIEU INSTITUTIONNEL

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y
- 622 p.
Cote : DIV ECO gra
Un essai essentiel et foisonnant qui nous permet de mieux comprendre l'histoire du monde, la crise du crédit en cours et l'avenir de notre économie.

ECONOMIE ; MONDIALISATION ; ETHIQUE ; HISTOIRE

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