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Centre de documentation pour l'alphabétisation et l'éducation populaire

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- 96 p.
Cote : ENS SOC hirt
Dans ce livre, Nico Hirtt ne se contente pas d'analyser la lettre ou les implications de la novlangue pédagogique d'institutions comme l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) ou la Commission européenne. Il suit les fils, divers et entremêlés, de l'offensive lancée depuis une vingtaine d'années déjà par les entreprises sur l'enseignement. Loin des discours univoques sur la « privatisation », il montre que, favorisée par le développement des nouvelles technologies, dont l'efficacité pédagogique n'a jamais été démontrée, la marchandisation de l'école se fait par trois voies : l'utilisation du système éducatif pour stimuler les marchés ; la transformation de l'école et des savoirs en un nouveau secteur générateur de profits ; l'adaptation de l'enseignement aux attentes des marchés, que cela soit au niveau des savoirs ou des méthodes.

Le souci du monde économique n'est plus en effet de dispenser d'avantage d'enseignement, mais de le dispenser mieux, au moment où, contrairement aux prévisions des années 1980, les emplois à forte composante technologique augmentent moins vite que les postes peu qualifiés. La précision des chiffres et des documents fournis fait de ce livre un outil exceptionnel de lutte contre la soumission de l'Ecole aux lois des entreprises.
Franck Poupeau in http://www.monde-diplomatique.fr/2002/01/POUPEAU/8370[-]
Dans ce livre, Nico Hirtt ne se contente pas d'analyser la lettre ou les implications de la novlangue pédagogique d'institutions comme l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) ou la Commission européenne. Il suit les fils, divers et entremêlés, de l'offensive lancée depuis une vingtaine d'années déjà par les entreprises sur l'enseignement. Loin des discours univoques sur la « privatisation », il montre que, favorisée ...[+]

CAPITALISME ; STATISTIQUES ; PROJET DE SOCIETE ; ENSEIGNEMENT ; MARCHANDISATION ; PENSEE CRITIQUE

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H
- n° 165
Cote : COTEREVUE2017
Éditorial : "Mots détournés / savoirs marchandisés"
"Soigner la langue, la leçon de Victor Klemperer"-Nicole GRATALOUP
« Glissements progressifs vers... » -Fabienne SCHMITT
"La tarte à la crème du retour aux fondamentaux"-Valérie SULTAN
Le savoir : bien humain ou marchandise ? Extraits
"Quand le marché éducatif fait fi du savoir"-Pascal DIARD
"Du savoir comme «récit» à l'émergence actuelle du savoir comme «information» "- entretien avec Roland GORI par Michel NEUMAYER
"Marchandisation des savoirs dans un contexte de mondialisation. Et le management ?"-Sylvie CORDESSE MAROT
Les mots et les actes
"Innovation : mais jusqu'où s'arrêteront-ils ? "-Valérie SULTAN
" L'éducation nouvelle et l'innovation"-Maria-Alice MÉDIONI
" Continuer de penser : la citoyenneté "-Collectif Île-de-France
"L'Établissement contre l'Institution"-Jean-Louis CORDONNIER

Le cahier du LIEN
"Le Groupe d'Éducation pour une Bolivie Nouvelle (GEBN) s'engage dans l'éducation communautaire"-Pascal MONTOISY : "(Ré)écrire l'histoire commune"
"Vers de nouvelles recherches culturelles " -Entretien complémentaire avec Pascal Montoisy
Nous avons reçu...
"Faire débat : proposition pour une didactique pragmatiste de la philosophie"-Christophe POINT
"Un Groupe sciences au GFEN "-par Catherine LEDRAPIER

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Éditorial : "Mots détournés / savoirs marchandisés"
"Soigner la langue, la leçon de Victor Klemperer"-Nicole GRATALOUP
« Glissements progressifs vers... » -Fabienne SCHMITT
"La tarte à la crème du retour aux fondamentaux"-Valérie SULTAN
Le savoir : bien humain ou marchandise ? Extraits
"Quand le marché éducatif fait fi du savoir"-Pascal DIARD
"Du savoir comme «récit» à l'émergence actuelle du savoir comme «information» "- entretien avec ...[+]

MARCHANDISATION ; OBJECTIF DE L'EDUCATION ; POLITIQUE DE L'EDUCATION ; LINGUISTIQUE ; ATELIER DE LECTURE ; DISCRIMINATION EN EDUCATION ; approche par compétences ; CITOYENNETE ; AUTO-SOCIO CONSTRUCTION DU SAVOIR ; BOLIVIE ; ANALYSE DU DISCOURS

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y
- 136 p.
Cote : DIV SC HUM van
Jamais l'histoire n'a permis de porter un regard aussi pénétrant sur le sort inhumain qui nous est réservé, jamais une telle lucidité ne s'est autant aveuglée sur notre chance de le révoquer. La tyrannie planétaire du profit mise sur le caractère archaïque des réactions contestataires pour accroître sa puissance en démantelant les secteurs utiles à la société et en propageant une misère existentielle qui multiplie les comportements suicidaires. Notre seule chance d'abolir la civilisation marchande consiste à favoriser l'émergence d'une civilisation humaine en nous fondant, avec l'intention de la dépasser, sur la seule et véritable nouvelle économie. Le temps est venu d'en prendre conscience : notre richesse réside en une vie affinée par le progrès de la sensibilité et de l'intelligence humaines. Nous n'avons ni à la sacrifier ni à la rembourser au prix de l'infortune. Notre combat n'est plus de survivre dans une société de prédateurs mais de vivre parmi les vivants.[-]
Jamais l'histoire n'a permis de porter un regard aussi pénétrant sur le sort inhumain qui nous est réservé, jamais une telle lucidité ne s'est autant aveuglée sur notre chance de le révoquer. La tyrannie planétaire du profit mise sur le caractère archaïque des réactions contestataires pour accroître sa puissance en démantelant les secteurs utiles à la société et en propageant une misère existentielle qui multiplie les comportements suicidaires. ...[+]

MARCHANDISATION ; PENSEE CRITIQUE ; PROJET DE SOCIETE

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y
- 248 p.
Cote : DIV SC HUM jap
Dans La Société autophage, Anselm Jappe s'intéresse au sujet narcissique-fétichiste, qu'il identifie comme la subjectivité propre au capitalisme de crise. La " critique de la valeur " élargit ici son discours à la sphère des structures psychiques, à la recherche du sujet même de la fétichisation de la marchandise. Ce livre s'adresse à tous ceux qui se préoccupent de la " pulsion de mort " de la société actuelle et qui pensent qu'elle est le résultat d'une véritable crise de civilisation.

Le mythe grec d'Érysichthon nous parle d'un roi qui s'autodévora parce que rien ne pouvait assouvir sa faim – punition divine pour un outrage fait à la nature. Cette anticipation d'une société vouée à une dynamique autodestructrice constitue le point de départ de La Société autophage. Anselm Jappe y poursuit l'enquête commencée dans ses livres précédents, où il montrait – en relisant les théories de Karl Marx au prisme de la " critique de la valeur " – que la société moderne est entièrement fondée sur le travail abstrait et l'argent, la marchandise et la valeur.
Mais comment les individus vivent-ils la société marchande ? Quel type de subjectivité le capitalisme produit-il ? Pour le comprendre, il faut rouvrir le dialogue avec la tradition psychanalytique, de Freud à Erich Fromm ou Christopher Lasch. Et renoncer à l'idée, forgée par la Raison moderne, que le " sujet " est un individu libre et autonome. En réalité, ce dernier est le fruit de l'intériorisation des contraintes créées par le capitalisme, et aujourd'hui le réceptacle d'une combinaison létale entre narcissisme et fétichisme de la marchandise.
Le sujet fétichiste-narcissique ne tolère plus aucune frustration et conçoit le monde comme un moyen sans fin voué à l'illimitation et la démesure. Cette perte de sens et cette négation des limites débouchent sur ce qu'Anselm Jappe appelle la " pulsion de mort du capitalisme " : un déchaînement de violences extrêmes, de tueries de masse et de meurtres " gratuits " qui précipite le monde des hommes vers sa chute.
Dans ce contexte, les tenants de l'émancipation sociale doivent urgemment dépasser la simple indignation contre les tares du présent – qui est souvent le masque d'une nostalgie pour des stades antérieurs du capitalisme – et prendre acte d'une véritable " mutation anthropologique " ayant tous les atours d'une dynamique régressive.[-]
Dans La Société autophage, Anselm Jappe s'intéresse au sujet narcissique-fétichiste, qu'il identifie comme la subjectivité propre au capitalisme de crise. La " critique de la valeur " élargit ici son discours à la sphère des structures psychiques, à la recherche du sujet même de la fétichisation de la marchandise. Ce livre s'adresse à tous ceux qui se préoccupent de la " pulsion de mort " de la société actuelle et qui pensent qu'elle est le ...[+]

MARXISME ; ECONOMIE ; SOCIOLOGIE DU TRAVAIL ; MARCHANDISATION ; PSYCHANALYSE ; VIOLENCE

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