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Centre de documentation pour l'alphabétisation et l'éducation populaire

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Paris
2


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- 165 p.
Cote : ENS PAR dubu
Sociologue, F.Dubet montre comment les familles sont désormais inégales face à un système scolaire transformé en marché, au détriment des classes populaires.

RELATION ECOLE ET FAMILLE ; DISCRIMINATION SOCIALE ; MILIEU CULTUREL

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- 96 p.
Cote : DIV ECO MACRO pinc
Les plus riches accumulent aujourd'hui des millions d'euros tandis que des millions d'Européens vivent en dessous du seuil de pauvreté. Comment se fait-il que l'argent, conçu pour faciliter les échanges de biens, et qui était donc créateur de lien social, soit devenu le symbole universel de la réussite personnelle ? Voire la valeur suprême de l'existence, au-delà de préceptes des religions et du respect des droits fondamentaux garantis par les législations. Comment en est-on arrivé là ? Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot, auteurs à succès et spécialistes des grandes fortunes, montrent que l'argent a été dévoyé de sa fonction initiale pour devenir une arme au service des nantis. La virtualisation de la monnaie, la dérégulation des marchés, les arrangements entre financiers et politiques, l'exil fiscal et le dumping social sont autant de stratégies dans l'impressionnante panoplie des oligarques qui leur permet de conserver et de consolider leurs privilèges exorbitants. Émaillant leurs analyses d'exemples et de propositions concrètes, les deux sociologues suggèrent de revenir de toute urgence à un encadrement plus strict de l'argent, afin qu'il redevienne ce qu'il n'aurait jamais dû cesser d'être : un bien public.[-]
Les plus riches accumulent aujourd'hui des millions d'euros tandis que des millions d'Européens vivent en dessous du seuil de pauvreté. Comment se fait-il que l'argent, conçu pour faciliter les échanges de biens, et qui était donc créateur de lien social, soit devenu le symbole universel de la réussite personnelle ? Voire la valeur suprême de l'existence, au-delà de préceptes des religions et du respect des droits fondamentaux garantis par les ...[+]

CAPITALISME ; PAUVRETE ; ETHIQUE

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y

Cote : O LING bla
La glottophobie peut être définie comme « le mépris, la haine, l'agression, le rejet, l'exclusion, de personnes,… fondés sur le fait de considérer incorrectes, inférieures, mauvaises certaines formes linguistiques (perçues comme des langues, des dialectes ou des usages de langues) usitées par ces personnes, en général en focalisant sur les formes linguistiques (et sans toujours avoir pleinement conscience de l'ampleur des effets produits sur les personnes) ». Cette glottophobie, comme c'est également le cas pour la xénophobie, l'homophobie ou la judéophobie, s'exerce sur les personnes et pas seulement sur leurs caractéristiques réelles ou supposées . Elle s'appuie non seulement sur des façons de parler une langue (comme « avoir un accent » en français), mais aussi sur le fait de parler d'autres langues que la langue attendue, imposée, survalorisée. Or cette forme de discrimination est complètement ignorée dans nos sociétés.
Dans un premier temps, l'auteur présente un cadre théorique qui permet une approche sociale des phénomènes linguistiques et une approche linguistique des phénomènes sociaux. Dans un deuxième temps, il tâche de comprendre comment, pourquoi, par quels moyens s'est développée et se maintient dans de nombreuses sociétés cette glottophobie banalisée, acceptée, légitimée. Dans un troisième temps, il examine comment celle-ci, à travers l'action de certaines instances et agents, se déploie et se maintient. Il pointe particulièrement la responsabilité des grammairiens et des linguistes dans la désocialisation et déshumanisation des langues. Enfin, il propose des pistes pour combattre cette glottophobie, tout en précisant les vastes enjeux de ce combat.
Bien que fondé sur une méthodologie scientifique solide (notamment, en sociolinguistique), ce livre se veut accessible aux non-spécialistes et constitue une référence dans ce débat de société crucial.[-]
La glottophobie peut être définie comme « le mépris, la haine, l'agression, le rejet, l'exclusion, de personnes,… fondés sur le fait de considérer incorrectes, inférieures, mauvaises certaines formes linguistiques (perçues comme des langues, des dialectes ou des usages de langues) usitées par ces personnes, en général en focalisant sur les formes linguistiques (et sans toujours avoir pleinement conscience de l'ampleur des effets produits sur les ...[+]

DISCRIMINATION ; LANGUE DOMINANTE ; SOCIOLINGUISTIQUE

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y
- 144 p.
Cote : G ORTH hoe
On se demande souvent comment respecter l'orthographe. Mais l'orthographe est-elle respectable?
L'orthographe est un sujet qui déchaine les passions. Arnaud Hoedt et Jérôme Piron remettent en question le dogme orthographique. On prend conscience avec eux que l'orthographe française, en plus d'être un vrai casse-tête, est tout sauf logique. Et surtout, que ses racines sont plus fantasmées que l'on veut bien l'admettre. Avec cet ouvrage mêlant texte, illustrations et bande dessinée, on s'amuse autant que l'on s'interroge sur notre attachement à cette orthographe, adoration pour les uns, chemin de croix pour les autres. Tout le monde a un avis sur la question. Et pourtant, il ne s'agit peut-être que d'un énorme malentendu. À quel point nous compliquons-nous la vie avec une orthographe et une grammaire qui répondent à des règles qui échappent à tout entendement ? L'arrivée de l'Académie française et des premiers dictionnaires contribueront à complexifier les règles dans un but de distinction sociale. Pourquoi mettre un t à édit ou bruit (comme dans éditer ou bruiter), mais pas à abri (comme dans abriter) ? Pourquoi écrire contraindre avec ain, alors qu'il vient de stringere comme astreindre et restreindre ? À quelle étymologie se rapporte le p de dompter qui vient du latin domitare ou le d de poids qui vient de pensum ? Les deux auteurs ont été professeurs de français, et donc sommés de s'offusquer des fautes d'orthographe. Pourtant, leurs études de linguistique leur ont appris que la norme orthographique française est très souvent arbitraire et pleine d'absurdités. Ils ont tenté de le dire et ont alors été confrontés à l'impossibilité généralisée de se faire entendre, ce qui les a amenés à prendre progressivement conscience des enjeux politiques et sociaux cachés derrière ces questions
linguistiques[-]
On se demande souvent comment respecter l'orthographe. Mais l'orthographe est-elle respectable?
L'orthographe est un sujet qui déchaine les passions. Arnaud Hoedt et Jérôme Piron remettent en question le dogme orthographique. On prend conscience avec eux que l'orthographe française, en plus d'être un vrai casse-tête, est tout sauf logique. Et surtout, que ses racines sont plus fantasmées que l'on veut bien l'admettre. Avec cet ouvrage mêlant ...[+]

ORTHOGRAPHE

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Cote : ISP TRAV sim
Maud Simonet met ici en question les différentes formes de travail gratuit, présentant un éclairage critique sur les frontières entre bénévolat, volontariat et salariat.
Qu'y a-t-il de commun entre une bénévole chargée des activités périscolaires dans une école, une allocataire de l'aide sociale qui nettoie les parcs de New York ou le rédacteur d'un blog en ligne ? Des milliers d'heures de travail exercées gratuitement pour faire fonctionner associations. services publics et entreprises. Que nous apprennent ces différentes formes "citoyennes" et "numériques" de travail gratuit ? A qui profitent-elles et qui y est assigné? En repartant des grandes leçons de l'analyse féministe du travail domestique, et en se fondant sur plusieurs enquêtes de terrain menées en France et aux Etats-Unis, Maud Simonet propose une approche critique du travail par sa face gratuite.
Elle analyse ces formes d'exploitation qui se développent au nom de l'amour. de la passion ou de la citoyenneté et participent à la néolibéralisation du travail dans les mondes publics et privés.
Une illustration brillante du brouillage croissant entre contrainte et consentement au travail montrant comment les injonctions politiques contemporaines à l'engagement citoyen constituent la "face civique" du néolibéralisme.[-]
Maud Simonet met ici en question les différentes formes de travail gratuit, présentant un éclairage critique sur les frontières entre bénévolat, volontariat et salariat.
Qu'y a-t-il de commun entre une bénévole chargée des activités périscolaires dans une école, une allocataire de l'aide sociale qui nettoie les parcs de New York ou le rédacteur d'un blog en ligne ? Des milliers d'heures de travail exercées gratuitement pour faire fonctionner ...[+]

BENEVOLAT ; CONDITIONS DE TRAVAIL ; CAPITALISME

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- 304 p.
Cote : ART PEDA photo
Voici une synthèse passionnante sur un moment mal connu de l'histoire de la photographie française dans l'entre-deux-guerres. Elle réunit les travaux inédits d'immenses artistes - alors tout jeunes - comme Jacques-André Boiffard, Henri Cartier-Bresson, Gisèle Freund, Germaine Krull, Eli Lotar, Lisette Model, Willy Ronis, ou René Zuber ainsi que de photographes anonymes. Engagés dans la lutte antifasciste, la révolution sociale et le pacifisme, les professionnels de l'Association des écrivains et artistes révolutionnaires (AEAR) et les Amateurs photographes ouvriers (APO) s'emparent de la photo comme d'une arme pour documenter et dénoncer les réalités sociales en France et dans le monde. De ces nouvelles pratiques naît une grammaire visuelle et graphique au service du combat politique porté par une formidable dynamique de magazines, brochures, tracts, affiches... Un foisonnement qui n'est pas sans évoquer l'essor actuel des usages militants de l'image partagée sur Internet.[-]
Voici une synthèse passionnante sur un moment mal connu de l'histoire de la photographie française dans l'entre-deux-guerres. Elle réunit les travaux inédits d'immenses artistes - alors tout jeunes - comme Jacques-André Boiffard, Henri Cartier-Bresson, Gisèle Freund, Germaine Krull, Eli Lotar, Lisette Model, Willy Ronis, ou René Zuber ainsi que de photographes anonymes. Engagés dans la lutte antifasciste, la révolution sociale et le pacifisme, ...[+]

RECUEIL DE PHOTOS ; CLASSE SOCIALE ; HISTOIRE SOCIALE ; LECTURE D'IMAGE

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