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Centre de documentation pour l'alphabétisation et l'éducation populaire

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y
- 21 p.
L'exigence réflexive qui est instituée dans le décret réformé en 2018 est cadrée par quatre questions qui portent sur le sens de l'action des associations.
Ces questions sont les suivantes :
1. De quelle manière l'association entend-elle défendre et promouvoir un ou plusieurs droits, parmi
les droits fondamentaux (économiques, sociaux, culturels, environnementaux, civils et politiques) ?
2. De quel point de vue critique l'association est-elle porteuse sur la société ?
3. Quel est / quels sont l'effet / les effets et impacts que l'association cherche éventuellement à produire
et / ou à susciter à partir de ses actions et vers quels destinataires ?
4. Quel est, en conclusion, le rôle que l'association entend jouer dans le développement de l'action
d'éducation permanente dans le champ de la vie associative ?[-]
L'exigence réflexive qui est instituée dans le décret réformé en 2018 est cadrée par quatre questions qui portent sur le sens de l'action des associations.
Ces questions sont les suivantes :
1. De quelle manière l'association entend-elle défendre et promouvoir un ou plusieurs droits, parmi
les droits fondamentaux (économiques, sociaux, culturels, environnementaux, civils et politiques) ?
2. De quel point de vue critique l'association est-elle ...[+]

EVALUATION ; EDUCATION PERMANENTE-BELGIQUE ; VIE ASSOCIATIVE ; EDUCATION POPULAIRE

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y
- 6 pages
La théorie des « droits culturels », produite par le « groupe de Fribourg », animé par Patrice Meyer-Bisch, est ainsi l'objet d'un intense travail d'insertion en Fédération Wallonie-Bruxelles, notamment dans le contexte du nouveau Décret relatif aux Centres culturels, mais aussi dans le domaine de l'éducation permanente : P. Meyer-Bisch était l'invité central de la troisième journée de l'éducation permanente organisée ce 18 novembre 2013 par le Service de l'Education permanente et le Conseil
Supérieur de l'éducation permanente.
Les productions du groupe de Fribourg, de grande qualité, ne font toutefois pas l'unanimité. L'assimilation, par son leader, de l'éducation permanente au courant du « life long learning » en a
par exemple étonné plus d'un ; notons que l'association « Peuple et Culture » vient justement de consacrer un colloque à la dénonciation de cette assimilation.
Cette situation nous semble motiver un travail critique sur les effets possibles de l'insertion, dans le champ culturel en Fédération Wallonie Bruxelles, de la créature « droits culturels » telle que conçue par le groupe de Fribourg et telle que présentée aux protagonistes de l'éducation permanente.[-]
La théorie des « droits culturels », produite par le « groupe de Fribourg », animé par Patrice Meyer-Bisch, est ainsi l'objet d'un intense travail d'insertion en Fédération Wallonie-Bruxelles, notamment dans le contexte du nouveau Décret relatif aux Centres culturels, mais aussi dans le domaine de l'éducation permanente : P. Meyer-Bisch était l'invité central de la troisième journée de l'éducation permanente organisée ce 18 novembre 2013 par le ...[+]

droits culturels ; PENSEE CRITIQUE ; PROJET DE SOCIETE ; ANALYSE DU DISCOURS

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y
- 16 p.
La question d'une « démocratie technique » est bien celle-ci : qui a droit à la parole pour dire ce qui est acceptable en matière de construction de la réalité ? Cette question en suppose une autre : qui est légitime pour participer au débat scientifique et technique ? En nous appuyant sur le concept de démocratie technique et sur les analyses de l'équipe de Michel Callon, nous espérons avoir montré que l'éducation permanente avait un rôle plein et entier à jouer dans la production de connaissances. Pour reconnaître ce rôle, il faut en premier lieu déplacer les oppositions de sens commun : experts/ profanes ; connaissance objective/croyance subjective ; dimension technique/dimension expérientielle.
Le déplacement de ces oppositions plaide pour une coopération entre « recherche de laboratoire » et
« recherche de plein air » et conduit à penser que la « construction collective de savoirs » excède la
seule dimension de travail de groupe : c'est à l'ouverture et à l'articulation de différents collectifs de recherche qu'il faut oeuvrer si l'on suit ce point de vue. [-]
La question d'une « démocratie technique » est bien celle-ci : qui a droit à la parole pour dire ce qui est acceptable en matière de construction de la réalité ? Cette question en suppose une autre : qui est légitime pour participer au débat scientifique et technique ? En nous appuyant sur le concept de démocratie technique et sur les analyses de l'équipe de Michel Callon, nous espérons avoir montré que l'éducation permanente avait un rôle plein ...[+]

EDUCATION PERMANENTE-BELGIQUE ; CONNAISSANCE ; EDUCATION POPULAIRE

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y
- 23 p.
Très utilisé dans le secteur social, «l'accompagnement» est un terme qui paraît adéquat aux travailleurs sociaux pour caractériser leur pratique et leur travail avec la personne aidée/suivie. Cette dénomination, d'apparence simple et explicite, génère pourtant des controverses tant au niveau de son utilisation que des pratiques d'accompagnement concrètement observées. En effet, aujourd'hui, le concept d'accompagnement est de plus en plus employé dans les dispositifs relevant de l'Etat Social Actif. Or ces derniers reposent sur des postulats pédagogiques diamétralement opposés à ceux que veulent défendre la plus part des intervenants sociaux. L'enjeu devient donc la définition de l'accompagnement, notamment entre le pouvoir subsidiant et les professionnels de terrain. Aussi, cette étude propose une définition qui s'articule autour d'un certain nombre de caractéristiques que l'on peut associer à la notion de travail avec autrui. L'accompagnement serait une aide réalisée en faveur d'un destinataire-mandataire, ayant un pouvoir de décision conséquent concernant cette intervention. Le travail d'accompagnement apparaît comme sous-tendu par un projet pédagogique fort qui a pour objectif l'émancipation et la reconnaissance de la personne en tant que sujet d'intervention. Il ne s'agit plus de réparer ou de guérir ce qui dysfonctionne mais d'aider les personnes à trouver une place dans la société.[-]
Très utilisé dans le secteur social, «l'accompagnement» est un terme qui paraît adéquat aux travailleurs sociaux pour caractériser leur pratique et leur travail avec la personne aidée/suivie. Cette dénomination, d'apparence simple et explicite, génère pourtant des controverses tant au niveau de son utilisation que des pratiques d'accompagnement concrètement observées. En effet, aujourd'hui, le concept d'accompagnement est de plus en plus employé ...[+]

ACCOMPAGNEMENT SOCIAL ET PROFESSIONNEL ; ACCUEIL ; POLITIQUE SOCIALE

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y
- 110 p.
Cote : ISP EXCL fas
Ces "chroniques" ont été rédigées au départ du recueil de la parole de familles roms et de services sociaux travaillant avec cette population. Ce qui nous a été dit nous a amenés à nous pencher sur trois aspects mis en avant par les participants et étroitement imbriqués, menant les Roms d'une situation dramatique à une autre pire encore.

Une première partie est consacrée à la trajectoire des Roms de Wallonie, à ce qui les caractérise depuis toujours : une grande hétérogénéité, une discrimination ancestrale partout, une stigmatisation extrême, une dévaluation de leur culture.

Ce que les Roms demandent, c'est du travail ; mais pour avoir du travail il faut des papiers. Nous avons examiné les diverses législations qui se télescopent et la manière dont elles entraînent des injonctions paradoxales pour les Roms.

Enfin, nous avons examiné l'usage social qui est fait de ces législations et la manière dont les services sociaux tentent de «naviguer» entre les conséquences du stigmate et les risques de l'aggraver involontairement.

gensduvoyage@skynet.be[-]
Ces "chroniques" ont été rédigées au départ du recueil de la parole de familles roms et de services sociaux travaillant avec cette population. Ce qui nous a été dit nous a amenés à nous pencher sur trois aspects mis en avant par les participants et étroitement imbriqués, menant les Roms d'une situation dramatique à une autre pire encore.

Une première partie est consacrée à la trajectoire des Roms de Wallonie, à ce qui les caractérise depuis ...[+]

GITANS ; INSERTION SOCIALE ; BELGIQUE ; DISCRIMINATION

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