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Centre de documentation pour l'alphabétisation et l'éducation populaire

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Documents CAPITALISME 107 résultats

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Cote : T EMPL cncd
— « Une histoire du futur » : en 2002, l'usine Philips de Hasselt est délocalisée en Hongrie. Des travailleuses et travailleurs belges qui ont perdu leur emploi dans cette usine rencontrent leurs « successeurs » hongrois, mais bientôt l'usine déménage en Chine ! + Document A4 proposant différentes pistes d'animation sur base du reportage.
CSC, 2005
Durée : 25 min


— « Nous achetons, qui paye ? » : comment les entreprises des pays riches font produire vêtements et chaussures dans les pays en développement. Bas salaires, conditions de travail précaires, travail des enfants, pollution.
Fair Trade Center-Suède/Campagne Vêtements propres, 2003
Durée : 25 min


— « Barcelone ou mourir » : l'émigration du Sénégal vers l'Europe est stimulée entre autres par la crise locale du secteur de la pêche.
RTBF/CNCD-11.11.11, 2007
Durée : 10 min


— « Les travailleurs face à la mondialisation » : comment les organisations syndicales peuvent construire peu à peu une solidarité entre travailleurs du Nord et du Sud face à leur mise en concurrence.
CEPAG/FGTB, 2005
Durée : 28 min


— « Un futur sans travail des enfants » : deux exemples de travail des enfants, au Pakistan et au Kenya (accompagné d'une fiche d'exploitation par Solidarité Mondiale téléchargeable).
BIT
Durée : 26 min
Fiche d'exploitation de l'ONG Solidarité Mondiale (PDF-93 Ko)[-]
— « Une histoire du futur » : en 2002, l'usine Philips de Hasselt est délocalisée en Hongrie. Des travailleuses et travailleurs belges qui ont perdu leur emploi dans cette usine rencontrent leurs « successeurs » hongrois, mais bientôt l'usine déménage en Chine ! + Document A4 proposant différentes pistes d'animation sur base du reportage.
CSC, 2005
Durée : 25 min


— « Nous achetons, qui paye ? » : comment les entreprises des pays riches font ...[+]

CONDITIONS DE TRAVAIL ; DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ; CAPITALISME

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y
- n° 234
Cote : COTEREVUE2018
Tout au long de ce dossier, les propositions se succèdent pour que la profession de foi Tous capables devienne réalité : questionner sa manière d'évaluer pour traduire les possibles plutôt que les échecs, renoncer au rassurant Il n'est pas fait pour..., prendre en compte l'influence déterminante des stratégies de certains parents dans le parcours scolaire des enfants ou démonter le mythe de l'orthographe exemplaire de nos grands-mères toutes capables d'écrire sans faute... Dans un système scolaire qui trie, comment résister aux étiquettes qui figent les élèves dans leurs capacités supposées ? C'est aussi la posture du maitre qui doit se méfier de la manière dont il considère ses apprenants, qu'il les affectionne ou pas. Croire au Tous capables amène finalement à se demander : à quoi sert l'école? ? À quoi voulons-nous qu'elle serve? ? Tous capables, oui, mais, pour faire quoi? ?
Joint à ce dossier, une analyse critique d'un rapport de McKinsey concernant les facteurs de réussite des élèves. Faux savoir et vrai pouvoir, de Jacques Cornet pour CGé et de Nico Hirtt pour l'Aped, Cela vaut bien un encart, sans aucun doute? ![-]
Tout au long de ce dossier, les propositions se succèdent pour que la profession de foi Tous capables devienne réalité : questionner sa manière d'évaluer pour traduire les possibles plutôt que les échecs, renoncer au rassurant Il n'est pas fait pour..., prendre en compte l'influence déterminante des stratégies de certains parents dans le parcours scolaire des enfants ou démonter le mythe de l'orthographe exemplaire de nos grands-mères toutes ...[+]

EVALUATION NORMATIVE ; CAPITALISME ; MOTIVATION ; INSERTION SOCIALE ; ORIENTATION SCOLAIRE ; PEDAGOGIE INSTITUTIONNELLE ; PEDAGOGIE DIFFERENCIEE ; SCOLARITE DES ENFANTS D'IMMIGRANTS ; ATELIER D'ECRITURE ; NEUROSCIENCES ; ESTIME DE SOI

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2y
- 38 p.
Cote : DIV ECO eco
Ce texte qui permet de comprendre très facilement les différents aspects de l'économie belge de la 2e moitié du 20e siècle est une oeuvre collective de militants et de responsables de la FGTB de Bruxelles, de la CSC de Bruxelles et de Attac Bruxelles 2. Il s'agit d'une brochure pédagogique inspirée de Réginald Savage, auteur de la magistrale étude qui a servi de guide aux auteurs (Économie belge 1953-2000. Ruptures et mutations, Eds. UCL-Presses universitaires de Louvain, Louvain-la-Neuve, 2004, 731 p.).
En version pdf ci-joint, vous trouverez une version pédagogique, plus courte (38 p.) et illustrée de nombreux dessins explicatifs, et une version plus documentée, illustrée de schémas (76p.).
La version pédagogique comprend entre autres 7 fiches de 2 à 4 pages illustrées de schémas expliquant l'évolution de concepts-clé (capitalisme industriel et capitalisme financier, distribution primaire, directe, indirecte, sécurité sociale, dette publique, fiscalité, politiques économiques). [-]
Ce texte qui permet de comprendre très facilement les différents aspects de l'économie belge de la 2e moitié du 20e siècle est une oeuvre collective de militants et de responsables de la FGTB de Bruxelles, de la CSC de Bruxelles et de Attac Bruxelles 2. Il s'agit d'une brochure pédagogique inspirée de Réginald Savage, auteur de la magistrale étude qui a servi de guide aux auteurs (Économie belge 1953-2000. Ruptures et mutations, Eds. ...[+]

BELGIQUE--HISTOIRE ; ECONOMIE ; SECURITE SOCIALE ; CAPITALISME ; FICHE PEDAGOGIQUE ; MONDIALISATION ; SYNDICAT

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y
- 276 p.
Cote : ENS SOC nouv
Ce livre affiche par son titre un double parrainage, celui de Luc Boltanski et Ève Chiapello, pour Le Nouvel Esprit du capitalisme (Gallimard, 1999), et celui de Christian Baudelot et Roger Establet, pour L'école capitaliste en France (François Maspéro, 1971). Les auteurs soutiennent la thèse que l'école a adopté les formes d'organisation nouvelles du capitalisme mondialisé : management, responsabilisation, évaluation, culture du résultat, etc., et que la logique capitaliste a pénétré son cœur, ses programmes, ses méthodes, son organisation.
L'employabilité est le principe et l'objectif de la normalisation de l'école, de son organisation et de sa pédagogie. L'école devient peu à peu un système hiérarchisé d'entreprises productrices de capital humain au service de l'économie de la connaissance. Elle cherche moins à transmettre une culture et des savoirs qui valent pour eux-mêmes qu'elle ne tente de fabriquer des individus aptes à s'incorporer dans la machine économique. Les effets inégalitaires de la concurrence, la mutilation culturelle introduite par la logique des compétences,… révèlent la perte d'autonomie de l'école par rapport au nouveau capitalisme et aux luttes des classes sociales autour de l'enjeu scolaire. Dans ce livre de combat et de théorie, les auteurs renouvèlent la sociologie critique de l'éducation en inscrivant les mutations de l'institution scolaire dans celles du capitalisme contemporain.[-]
Ce livre affiche par son titre un double parrainage, celui de Luc Boltanski et Ève Chiapello, pour Le Nouvel Esprit du capitalisme (Gallimard, 1999), et celui de Christian Baudelot et Roger Establet, pour L'école capitaliste en France (François Maspéro, 1971). Les auteurs soutiennent la thèse que l'école a adopté les formes d'organisation nouvelles du capitalisme mondialisé : management, responsabilisation, évaluation, culture du résultat, etc., ...[+]

CAPITALISME ; SOCIOLOGIE DE L'EDUCATION ; IDEOLOGIE

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y
- 138 p.
Cote : ISP TRAV lat
" À l'heure où le capitalisme est présenté comme une fatalité naturelle, se réapproprier le travail est un enjeu politique et démocratique. Les crises économique, écologique, sociale et politique soulignent plus que jamais la nécessité d'interroger quelles sont les activités utiles, qui en décide, qui les contrôle, quelles formes d'organisation sont mises en oeuvre et dans quelles conditions elles s'exercent.

Ces questions engagent tous les membres de la société. Dans une logique démocratique, elles doivent être soumises à des délibérations collectives. Or, actuellement, ces problématiques sont privatisées. Ce sont principalement les acteurs dominants du marché capitaliste qui définissent le travail nécessaire à la valorisation de leurs capitaux.

Ce texte propose de remettre le travail au coeur des rapports de forces. Il analyse les fondements de l'organisation du travail sous le mode de production capitaliste. Il décortique ensuite leurs caractéristiques et identifient les dispositifs qui permettent un exercice du pouvoir despotique tant sur le travail que ses conditions et son organisation. Cette perspective sert de base à construire un positionnement critique qui vise à redéfinir les conditions d'un contre-pouvoir ayant pour projet la transformation politique et l'émancipation sociale. "
[extrait de la présentation de l'éditeur][-]
" À l'heure où le capitalisme est présenté comme une fatalité naturelle, se réapproprier le travail est un enjeu politique et démocratique. Les crises économique, écologique, sociale et politique soulignent plus que jamais la nécessité d'interroger quelles sont les activités utiles, qui en décide, qui les contrôle, quelles formes d'organisation sont mises en oeuvre et dans quelles conditions elles s'exercent.

Ces questions engagent tous les ...[+]

ORGANISATION DU TRAVAIL ; CAPITALISME ; POUVOIR ; IDEOLOGIE ; RELATIONS INTERPERSONNELLES ; MILIEU INSTITUTIONNEL

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y
- 18 p.
Le discours dominant sur l'éducation considère celle-ci comme un « capital humain », dont le développement serait profitable à la fois aux individus (employabilité) et aux sociétés (croissance économique). Ce discours idéologique a pour fonction principale de justifier une adéquation fine de l'école aux évolutions du marché du travail. Or, l'étude des documents les plus récents de l'OCDE et de l'Union européenne révèle que cette évolution engendre, non pas un développement quantitatif ou qualitatif de l'enseignement, mais sa polarisation et son repli sur les « compétences » de base.[Introduction][-]
Le discours dominant sur l'éducation considère celle-ci comme un « capital humain », dont le développement serait profitable à la fois aux individus (employabilité) et aux sociétés (croissance économique). Ce discours idéologique a pour fonction principale de justifier une adéquation fine de l'école aux évolutions du marché du travail. Or, l'étude des documents les plus récents de l'OCDE et de l'Union européenne révèle que cette évolution ...[+]

SYSTEME SCOLAIRE ; DISCRIMINATION EN EDUCATION ; CAPITALISME

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