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    Documents Politique : Revue de débats 7 résultats

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    - n° 125 - 89 p.
    Cote : COTEREVUE2024
    "En 2024, où en sommes-nous au Proche-Orient ? Loin de la paix manifestement. Loin du dialogue aussi. Plutôt face à la peur, la violence et le deuil. Le dialogue israélo-palestinien fut pourtant possible à une époque, particulièrement en Belgique. C'est que ce pays d'Europe occidentale, à peine plus grand que les territoires de la Palestine mandataire à la veille de la fondation de l'État d'Israël, occupe une place à part sur la scène internationale, dans la recherche de la paix et du droit.
    La petite Belgique est riche et multiple. Multiple par sa population, ses langues, ses religions, ses cultures. De telle sorte que ce que l'on refuse
    rait de prendre en compte ici, d'un point de vue théorique, informatif, à Liège, Bruxelles, Gand ou Anvers, nous reviendrait néanmoins au visage, à l'esprit et au cœur, lié·es comme nous le sommes par des valeurs, des croyances, des espoirs, des tristesses, un passé et, nous l'espérons, un avenir, pour cette terre et surtout pour ses habitant·es."[-]
    "En 2024, où en sommes-nous au Proche-Orient ? Loin de la paix manifestement. Loin du dialogue aussi. Plutôt face à la peur, la violence et le deuil. Le dialogue israélo-palestinien fut pourtant possible à une époque, particulièrement en Belgique. C'est que ce pays d'Europe occidentale, à peine plus grand que les territoires de la Palestine mandataire à la veille de la fondation de l'État d'Israël, occupe une place à part sur la scène i...[+]

    PALESTINE ; ISRAEL ; GUERRE ; BELGIQUE ; POLITIQUE

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    - 50 p.
    Cote : ISP INSER pol
    Les trajectoires onusiennes bougent. Les « objectifs du millénaire », évalués cette année 2015, étaient construits dans une optique de lutte contre la pauvreté. Ils ne sont pas atteints. Dans la foulée, on observe la montée en puissance de la protection sociale comme concept, pas seulement du point de vue de son rôle dans la lutte contre la pauvreté. Nous voulons rendre possible la protection sociale pour tous. Notre conception articule le droit (on n'est pas que dans l'enjeu d'offrir un filet de sécurité) et la mobilisation solidaire de ressources. Pour autant, l'idée ne fait pas consensus : si, pour nous, la protection sociale est facteur de développement de l'économie, pour d'autres, elle représente un handicap concurrentiel. Ainsi notre système est-il mis sous pression. Il le sera d'autant plus s'il est isolé. Les intérêts du Sud et du Nord se rejoignent : c'est cela que la Semaine sociale a voulu mettre en évidence.

    Comment financer la protection mondiale ?
    Olivier DE SCHUTTER
    Quelles solidarités pour quels développements ?
    Pierre GEORIS
    "Protection sociale pour tous !"
    Jennifer VAN DRIESSCHE
    L'État social : une perspective internationale
    François-Xavier MERRIEN
    Comment développer l'économie sociale et solidaire en Afrique
    Frédéric THOMAS
    Pour construire le cadre commun
    Bart VERSTRAETEN
    La protection sociale reste un projet d'avenir
    Christian KUNSCH
    Pour un agenda politique Nord-Sud partagé
    La protection sociale comme pilier du travail décent
    Claire COURTEILLE
    Comment assurer la protection de la santé au Congo
    Luc DUSOULIER
    République dominicaine : Une mutuelle pour une conscience solidaire
    Gabriel A. DEL RIO
    Bénin : Une fédération de 32 mutuelles
    Gkoto Yérima ABOUBAKAR
    Sénégal : Une personne sur quatre sans Sécu
    Seyni KANE [-]
    Les trajectoires onusiennes bougent. Les « objectifs du millénaire », évalués cette année 2015, étaient construits dans une optique de lutte contre la pauvreté. Ils ne sont pas atteints. Dans la foulée, on observe la montée en puissance de la protection sociale comme concept, pas seulement du point de vue de son rôle dans la lutte contre la pauvreté. Nous voulons rendre possible la protection sociale pour tous. Notre conception articule le droit ...[+]

    SECURITE SOCIALE ; REVENU UNIVERSEL ; DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ; PAUVRETE ; MONDIALISATION ; COOPERATION

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    - 106 p.
    Cote : ISP TRAV pol
    Paradoxe : très souvent, le travail est une souffrance ;
    mais être sans emploi ne l'est pas moins !
    Un modèle nous a guidé : celui du contrat salarié à
    durée indéterminée et à temps plein, garantissant un
    bon salaire et une bonne protection sociale. Chaque
    jour, il se détricote un peu plus, au point même de
    devenir un horizon quasi utopique pour les générations
    les plus jeunes. La rapide numérisation de l'économie va
    entraîner de nouveaux bouleversements.
    Nous sommes dès lors en droit de nous interroger :
    notre société n'est-t-elle pas en train de s'émanciper du
    travail ? Qu'il y soit répondu par oui ou par non, quelles
    conséquences aurons-nous à affronter ? Quel avenir
    souhaitons-nous construire ?
    n
    Carole Crabbé, Alexis Cukier, Aurore De Keyser,
    Matthieu de Nanteuil, Fabrice Eeklaer, Pierre Georis,
    Khadija Khourcha, Christian Kunsch, Danièle Linhart,
    Marc Maesschalk, Christine Steinbach,
    Gérard Valenduc, Patricia Vendramin
    La Semaine sociale est une co-organisation
    de l'ASBL Centre d'information et d'éducation populaire
    du Mouvement ouvrier chrétien
    avec l'ASBL Fondation Travail-Université, qui en assure les actes[-]
    Paradoxe : très souvent, le travail est une souffrance ;
    mais être sans emploi ne l'est pas moins !
    Un modèle nous a guidé : celui du contrat salarié à
    durée indéterminée et à temps plein, garantissant un
    bon salaire et une bonne protection sociale. Chaque
    jour, il se détricote un peu plus, au point même de
    devenir un horizon quasi utopique pour les générations
    les plus jeunes. La rapide numérisation de l'économie va
    entraîner de nouveaux ...[+]

    CONDITIONS DE TRAVAIL ; ORGANISATION DU TRAVAIL

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    - n° 124 - p.81
    Cote : COTEREVUE2023
    "De nombreux économistes tirent la sonnette d'alarme. Sous leurs atours démocratiques, les sociétés occidentales renouent avec les niveaux d'inégalités patrimoniales des sociétés européennes du XIXe siècle.
    Étrangement, ce retour de l'héritage comme déterminant des trajectoires sociales passe relativement inaperçu. Ce silence est d'autant plus interpellant que les principales forces politiques ont de bonnes raisons de le taxer.
    Dans ce dossier, nous posons donc la question de la taxation de l'héritage et entendons en stimuler la réflexion.
    À quelques mois des élections, le moment était venu d'en parler. Car il est grand temps de briser le tabou et de nourrir les débats pour que la justice sociale y gagne, et que l'héritage perde enfin ce rôle de premier plan dans la reproduction des inégalités de patrimoine."[-]
    "De nombreux économistes tirent la sonnette d'alarme. Sous leurs atours démocratiques, les sociétés occidentales renouent avec les niveaux d'inégalités patrimoniales des sociétés européennes du XIXe siècle.
    Étrangement, ce retour de l'héritage comme déterminant des trajectoires sociales passe relativement inaperçu. Ce silence est d'autant plus interpellant que les principales forces politiques ont de bonnes raisons de le taxer.
    Dans ce dossier, ...[+]

    PROJET DE SOCIETE ; CAPITALISME ; ENVIRONNEMENT ; BELGIQUE--HISTOIRE ; DEBAT ; HISTOIRE SOCIALE

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    - 100 p.
    Cote : T CIT pol
    La démocratie se veut un mode de décision s'accordant avec le point de vue d'une majorité dans le respect des minorités. Chez nous, cela s'incarne par l'élection d'un collectif de politiques représentatifs en dialogue avec la société civile organisée. Aujourd'hui, le désenchantement est là : nombreux sont les citoyens qui se mettent en retrait ; la complexité du monde ouvre l'espace de la décision à des technocrates non élus ; en contrepoint, les populismes font dans le simplisme et la démagogie ; l'interaction avec la société civile organisée est grippée. Toutes ces pathologies sont traversées par une même grande ques¬tion : à quelles conditions les décisions de biens publics peuvent-elles être tout à la fois efficaces et légitimes ?[-]
    La démocratie se veut un mode de décision s'accordant avec le point de vue d'une majorité dans le respect des minorités. Chez nous, cela s'incarne par l'élection d'un collectif de politiques représentatifs en dialogue avec la société civile organisée. Aujourd'hui, le désenchantement est là : nombreux sont les citoyens qui se mettent en retrait ; la complexité du monde ouvre l'espace de la décision à des technocrates non élus ; en contrepoint, ...[+]

    DEMOCRATIE ; LEGISLATION--BELGIQUE ; ACTION COMMUNAUTAIRE

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