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Centre de documentation pour l'alphabétisation et l'éducation populaire

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Documents révolution 10 résultats

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- n° 0 - pp. 295-308
Anne Steiner développe l'idée principale des anarchistes individualistes dont les figures de proue étaientt Albert Libertad et Anna Mahé: "nous étions individualistes dans le sens ou l'individu est la base de toute société, que la vie en société ne pouvaient avoir d'autres raison d'être que de diminuer l'effort de l'homme et de mieux permettre l'épanouissement de la personalité (...) dans tous les domaines". Convaincu que la raison menait à l'anarchie, c'est dans les universités populaires qu'il voulaient la développer par l'éducation et en 1902 ils fondèrent les causeries populaires....[-]
Anne Steiner développe l'idée principale des anarchistes individualistes dont les figures de proue étaientt Albert Libertad et Anna Mahé: "nous étions individualistes dans le sens ou l'individu est la base de toute société, que la vie en société ne pouvaient avoir d'autres raison d'être que de diminuer l'effort de l'homme et de mieux permettre l'épanouissement de la personalité (...) dans tous les domaines". Convaincu que la raison menait à ...[+]

AUTOFORMATION ; AUTOGESTION ; PHILOSOPHIE DE L'EDUCATION ; révolution ; PEDAGOGIE LIBERTAIRE

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y
- n° 183 - 51 pages
Cote : COTEREVUE2022
Le n° 183 est le deuxième à porter sur le centenaire de l'Éducation Nouvelle. Le précédent explorait plutôt les racines des groupes dans « une histoire à partager ». Ce n° accorde la place principale à la vie des mouvements, leurs actions, leurs réflexions et les mises en œuvre actuelles de l'Éducation Nouvelle pour « la faire vivre aujourd'hui ».

Les groupes internationaux du LIEN y sont très présents. On entend ainsi la parole d'acteurs provenant de Belgique, d'Haïti, de Suisse, de Tunisie, de Roumanie.[-]
Le n° 183 est le deuxième à porter sur le centenaire de l'Éducation Nouvelle. Le précédent explorait plutôt les racines des groupes dans « une histoire à partager ». Ce n° accorde la place principale à la vie des mouvements, leurs actions, leurs réflexions et les mises en œuvre actuelles de l'Éducation Nouvelle pour « la faire vivre aujourd'hui ».

Les groupes internationaux du LIEN y sont très présents. On entend ainsi la parole d'acteurs ...[+]

Education nouvelle ; HISTOIRE ; DEBAT ; ATELIER D'ECRITURE ; révolution

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y
- 190 p.
Cote : PEDA THEO fre
Le Freinet qui nous est présenté ici est certes le Freinet pédagogue, celui de l'imprimerie à l'école, celui qui conceptualisa et qui réalisa des outils coopératifs (fichiers, bibliothèques de travail, dictionnaires etc.), mais aussi et surtout le Freinet politique au sens où, avec d'autres à l'époque, il considérait qu'il n'était pas envisageable de mener à bien une révolution pédagogique sans révolution sociale, tant les bouleversements souhaités étaient dialectiquement liés.
Freinet s'opposait aux tenants des pédagogies autoritaires et de la mise aux normes et au pas des enfants, voulue par les institutions scolaires traditionnelles. Pour lui, on ne peut lutter contre la montée du fascisme, les crises générées par le capitalisme, le développement de la misère et des guerres, en perpétuant, à travers ses pratiques quotidiennes, une pédagogie conservatrice, autoritaire et inégalitaire. Il voulait cesser de bourrer le crâne des enfants et des étudiants : « Et d'ailleurs que vous bourriez les crânes de rouge ou de blanc, c'est la même chose. » ; « Si la matière règne et pas l'homme, alors au revoir nouvel esprit ! Nous aurions alors de nouveau les ‘Cours pour les ouvriers' du milieu du XIXe siècle (…). Le socialisme comme matière d'enseignement n'avance pas le socialisme mais il rend l'homme bourgeois. » En clair, les arguments de Freinet en faveur des pratiques coopératives articulent deux perspectives : l'une est politique, l'autre est pédagogique. L'affranchissement individuel de l'élève est mis au service d'un affranchissement plus large, celui de la classe sociale à laquelle il appartient.
Freinet fonda par ailleurs une coopérative d'éducateurs. Plus que les groupements d'éducation nouvelle officiels, il était soucieux de comprendre comment une pédagogie peut obtenir des résultats en milieu populaire.

> À lire en complément : Baptiste JACOMINO, Freinet et la coopération, in Cahiers pédagogiques, article en ligne (www.cahiers-pedagogiques.com/Freinet-et-la-cooperation[-]
Le Freinet qui nous est présenté ici est certes le Freinet pédagogue, celui de l'imprimerie à l'école, celui qui conceptualisa et qui réalisa des outils coopératifs (fichiers, bibliothèques de travail, dictionnaires etc.), mais aussi et surtout le Freinet politique au sens où, avec d'autres à l'époque, il considérait qu'il n'était pas envisageable de mener à bien une révolution pédagogique sans révolution sociale, tant les bouleversements ...[+]

PEDAGOGIE FREINET ; IDEOLOGIE ; PENSEE CRITIQUE ; SOCIALISME ; COMMUNISME ; révolution

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y
- 420 pages
Cote : DIV FEM THEO bha
Le féminisme fait souvent office de faire-valoir à tous les programmes, émancipateurs Ou non. Du côté du bloc au pouvoir, les "droits des femmes" sont devenus un argument du maintien de l'ordre, des lois islamophobes à la politique d'incarcération des non-Blancs. Parmi les progressistes, le féminisme est une lutte parmi d'autres, qu'on cite volontiers entre I'antilibéralisme et la défense de l'environnement. A l'inverse, ce livre propose de donner toute sa portée au féminisme, de restaurer sa vocation révolutionnaire, de clarifier sa contribution à tout projet de bouleversement de l'ordre des choses. En quoi transformer la famille, la sexualité, l'organisation de la reproduction sociale et biologique, le travail domestique ou encore le travail affectif implique-t-il de révolutionner la vie quotidienne, la santé, la culture, le travail salarié, le logement, la vie collective, les allocations sociales ? Comment les apports du féminisme noir permettent-ils de repenser le dépérissement de l'Etat ? Ce recueil, regroupant des textes fondateurs du féminisme marxiste et des articles plus contemporains, est un manuel à l'usage de celles et ceux qui ne se satisfont pas de transformations partielles, mais qui entendent changer le système dans sa totalité.

Sommaire

- Introduction : Programme pour un féminisme de la totalité
- Eleanor B. Leacock : Le genre dans les sociétés égalitaires
- Matthieu Renault : Alexandra Kollontaï et le dépérissement de la famille... ou les deux verres d'eau de Lénine
- Johanna Brenner et Maria Ramas : Repenser l'oppression des femmes
- Tithi Bhattacharya : Comprendre la violence sexiste à l'époque du néolibéralisme
- Sara Farris : Les fondements politico-économiques du fémonationalisme
- Silvia Federici : Le féminisme comme mouvement antisystémique
- K. D. Griffiths et J. J. Gleeson : Kinderkommunismus. Une proposition communiste d'abolition de la famille
- Kevin Floyd : « Mères porteuses » et marchandisation des tissus organiques : une bioéconomie mondialisée
- Johanna Brenner : Sur le travail sexuel : une perspective féministe révolutionnaire
- Morgane Merteuil : Le travail du sexe contre le travail
- Peter Drucker : La fragmentation des identités LGBT à l'époque du néolibéralisme
- Gianfranco Rebucini : État intégral, bloc historique et homonationalisme en France : une analyse gramscienne des politiques des droits
- Morgane Merteuil : Le travail du sexe contre le sexe : pour une analyse matérialiste du désir
- Angela Davis : Violences sexuelles, racisme, impérialisme[-]
Le féminisme fait souvent office de faire-valoir à tous les programmes, émancipateurs Ou non. Du côté du bloc au pouvoir, les "droits des femmes" sont devenus un argument du maintien de l'ordre, des lois islamophobes à la politique d'incarcération des non-Blancs. Parmi les progressistes, le féminisme est une lutte parmi d'autres, qu'on cite volontiers entre I'antilibéralisme et la défense de l'environnement. A l'inverse, ce livre propose de ...[+]

FEMME ; GENRE ; révolution ; MARXISME ; HISTOIRE ; FEMINISME

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y
- 285 p.
Cote : HIST MOND LOS
Dans cet essai sur l'histoire du mouvement communiste, l'auteur s'interroge sur le sentiment d'autophobie qui pousse bon nombre de communistes à renier un passé qu'ils considèrent comme synonyme d'abjection, qui équivaut pour lui à renoncer à une identité autonome. Il met l'accent sur le potentiel de libération issu des révolutions russe et chinoise

révolution ; HISTOIRE ; CHINE ; COMMUNISME ; RUSSIE (1917)-- REVOLUTION

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- n° 171 - [38-43]pp.
Initiation au théâtre de l'opprimé. Une pédagogie révolutionnaire car dialogique. Mise en pratique des valeurs du GFEN.

ATELIER DE THEATRE ; CITOYENNETE ; ESTIME DE SOI ; révolution ; RESOLUTION DE CONFLIT

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