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Documents MARXISME 13 résultats

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- 465 p.
Cote : HIST SOC sad
C'est avec une mission officielle très confidentielle que le capitaine Jacques Sadoul part en Russie Tsariste: Albert Thomas, ministre socialiste dans le cabinet Clémenceau, veut avoir des renseignements de première main sur les évènements politiques qui agitent le pays "allié". Arrivé le 1er octobre 1917 à Petrograd et rattaché à la mission militaire française en Russie, Jacques Sadoul commence avec Albert Thomas une correspondance précise et passionnante qui demeure l'un des plus importants documents sur la Révolution russe édité en français. Poursuivie jusqu'en janvier 1919, cette correspondance décrit les évènements capitaux, rapporte les attitudes, les comportements, les décisions des hommes de la Révolution.[-]
C'est avec une mission officielle très confidentielle que le capitaine Jacques Sadoul part en Russie Tsariste: Albert Thomas, ministre socialiste dans le cabinet Clémenceau, veut avoir des renseignements de première main sur les évènements politiques qui agitent le pays "allié". Arrivé le 1er octobre 1917 à Petrograd et rattaché à la mission militaire française en Russie, Jacques Sadoul commence avec Albert Thomas une correspondance précise et ...[+]

MARXISME ; COMMUNISME ; RUSSIE (1917)-- REVOLUTION

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y

Cote : ISP TRAV bur
Résumé
Depuis les années 1930, les sociologues du travail se demandent pourquoi les ouvriers ne travaillent pas plus. Michael Burawoy se demande quant à lui pourquoi les ouvriers travaillent aussi dur, et ce qui les fait consentir à leur propre exploitation. Pour tenter de répondre à ces questions, il a travaillé près d'une année à la chaîne d'une usine de moteurs de la banlieue de Chicago. Aux antipodes d'une vision patronale de la sociologie du travail, Produire le consentement mêle descriptions ethnographiques et théorie du procès de travail capitaliste.
Michael Burawoy y analyse le procès de production comme un jeu dont les travailleurs élaborent eux-mêmes les règles, et montre que cet ensemble de pratiques informelles construisant un espace de travail en partie contrôlé par les ouvriers, loin d'atténuer l'exploitation, la renforce. Produire le consentement, qui s'est imposé comme un classique de la sociologie du travail depuis sa parution en 1979, n'avait jamais été traduit en français.
Commentaire critique
... S'il n'est pas possible de restituer ici, faute de place, tous les éléments de l'argumentation de cet ouvrage de Burawoy -ce qui est aussi une incitation à le lire !-, on se bornera à mentionner pour conclure deux prolongements au texte initial de la thèse à l'instar des « bonus » de dvd. Il s'agit d'une part d'un court appendice lumineux appliquant son modèle théorique à l'évolution de l'organisation de la production minière en Zambie avant et après la décolonisation (officielle) – son premier terrain d'enquête avant celui de la thèse-, et d'un article paru en 2004 dans La Nouvelle revue du travail dans lequel Burawoy revient sur son propre texte de manière critique, pointant lui-même ses propres points aveugles, à commencer par son incapacité à percevoir alors que le régime de capitalisme qu'il décrit en 1979 est sur le point d'être lui-même renversé par la révolution néolibérale et remplacé par ce qu'il va qualifier de « despotisme hégémonique » beaucoup plus coercitif... la suite sur https://lectures.revues.org/19656[-]
Résumé
Depuis les années 1930, les sociologues du travail se demandent pourquoi les ouvriers ne travaillent pas plus. Michael Burawoy se demande quant à lui pourquoi les ouvriers travaillent aussi dur, et ce qui les fait consentir à leur propre exploitation. Pour tenter de répondre à ces questions, il a travaillé près d'une année à la chaîne d'une usine de moteurs de la banlieue de Chicago. Aux antipodes d'une vision patronale de la sociolo...[+]

CAPITALISME ; SOCIOLOGIE DU TRAVAIL ; IDEOLOGIE ; MARXISME ; TEMOIGNAGE ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; SYNDICAT ; DISCRIMINATION EN EMPLOI ; PROJET DE SOCIETE ; POLITIQUE

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y
- 420 pages
Cote : DIV FEM THEO bha
Le féminisme fait souvent office de faire-valoir à tous les programmes, émancipateurs Ou non. Du côté du bloc au pouvoir, les "droits des femmes" sont devenus un argument du maintien de l'ordre, des lois islamophobes à la politique d'incarcération des non-Blancs. Parmi les progressistes, le féminisme est une lutte parmi d'autres, qu'on cite volontiers entre I'antilibéralisme et la défense de l'environnement. A l'inverse, ce livre propose de donner toute sa portée au féminisme, de restaurer sa vocation révolutionnaire, de clarifier sa contribution à tout projet de bouleversement de l'ordre des choses. En quoi transformer la famille, la sexualité, l'organisation de la reproduction sociale et biologique, le travail domestique ou encore le travail affectif implique-t-il de révolutionner la vie quotidienne, la santé, la culture, le travail salarié, le logement, la vie collective, les allocations sociales ? Comment les apports du féminisme noir permettent-ils de repenser le dépérissement de l'Etat ? Ce recueil, regroupant des textes fondateurs du féminisme marxiste et des articles plus contemporains, est un manuel à l'usage de celles et ceux qui ne se satisfont pas de transformations partielles, mais qui entendent changer le système dans sa totalité.

Sommaire

- Introduction : Programme pour un féminisme de la totalité
- Eleanor B. Leacock : Le genre dans les sociétés égalitaires
- Matthieu Renault : Alexandra Kollontaï et le dépérissement de la famille... ou les deux verres d'eau de Lénine
- Johanna Brenner et Maria Ramas : Repenser l'oppression des femmes
- Tithi Bhattacharya : Comprendre la violence sexiste à l'époque du néolibéralisme
- Sara Farris : Les fondements politico-économiques du fémonationalisme
- Silvia Federici : Le féminisme comme mouvement antisystémique
- K. D. Griffiths et J. J. Gleeson : Kinderkommunismus. Une proposition communiste d'abolition de la famille
- Kevin Floyd : « Mères porteuses » et marchandisation des tissus organiques : une bioéconomie mondialisée
- Johanna Brenner : Sur le travail sexuel : une perspective féministe révolutionnaire
- Morgane Merteuil : Le travail du sexe contre le travail
- Peter Drucker : La fragmentation des identités LGBT à l'époque du néolibéralisme
- Gianfranco Rebucini : État intégral, bloc historique et homonationalisme en France : une analyse gramscienne des politiques des droits
- Morgane Merteuil : Le travail du sexe contre le sexe : pour une analyse matérialiste du désir
- Angela Davis : Violences sexuelles, racisme, impérialisme[-]
Le féminisme fait souvent office de faire-valoir à tous les programmes, émancipateurs Ou non. Du côté du bloc au pouvoir, les "droits des femmes" sont devenus un argument du maintien de l'ordre, des lois islamophobes à la politique d'incarcération des non-Blancs. Parmi les progressistes, le féminisme est une lutte parmi d'autres, qu'on cite volontiers entre I'antilibéralisme et la défense de l'environnement. A l'inverse, ce livre propose de ...[+]

FEMME ; GENRE ; révolution ; MARXISME ; HISTOIRE ; FEMINISME

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y
- 222 pages
Cote : DIV PHILO poc
Comment affronter les problèmes du vivre-ensemble à l'heure de la diversité culturelle ? Quels moyens utiliser pour sortir les individus des logiques de fatalité et des dangers du découragement ? De quelle manière dépasser k pessimisme ambiant et redonner du souffle à nos sociétés ? Comment aider les plus violentés, ou humiliés, à s'aimer et à aimer, afin de retrouver le sens de la dignité et le goût des autres ? Et quelle place attribuer aux religions dont les formes extrêmes envahissent sans cesse nos écrans ? En analysant l'Amérique d'en-bas, celle des personnes les plus touchées par la discrimination, le philosophe Cornel West semble décrire, comme par un effet de miroir, la situation de nombreuses démocraties.
Il aborde, ainsi, avec une subtile lucidité les questions que nous ne pouvons plus éviter. Alors que nos sociétés se trouvent secouées par des phénomènes d'intolérance et des formes inquiétantes de fragmentation sociale, le présent ouvrage donne des raisons de ne pas céder à la désespérance. Il offre, également, des ressources essentielles, aujourd'hui, pour retisser du lien. En dialoguant avec la pensée d'un des plus grands philosophes contemporains, l'auteur rend accessible au public francophone une éthique sociale audacieuse pour notre époque en mal de repères.[-]
Comment affronter les problèmes du vivre-ensemble à l'heure de la diversité culturelle ? Quels moyens utiliser pour sortir les individus des logiques de fatalité et des dangers du découragement ? De quelle manière dépasser k pessimisme ambiant et redonner du souffle à nos sociétés ? Comment aider les plus violentés, ou humiliés, à s'aimer et à aimer, afin de retrouver le sens de la dignité et le goût des autres ? Et quelle place attribuer aux ...[+]

POLITIQUE SOCIALE ; ETHIQUE ; PHILOSOPHIE SOCIALE ; ESTIME DE SOI ; VIOLENCE ; AMERIQUE DU NORD ; MARXISME

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y
- 248 p.
Cote : DIV SC HUM jap
Dans La Société autophage, Anselm Jappe s'intéresse au sujet narcissique-fétichiste, qu'il identifie comme la subjectivité propre au capitalisme de crise. La " critique de la valeur " élargit ici son discours à la sphère des structures psychiques, à la recherche du sujet même de la fétichisation de la marchandise. Ce livre s'adresse à tous ceux qui se préoccupent de la " pulsion de mort " de la société actuelle et qui pensent qu'elle est le résultat d'une véritable crise de civilisation.

Le mythe grec d'Érysichthon nous parle d'un roi qui s'autodévora parce que rien ne pouvait assouvir sa faim – punition divine pour un outrage fait à la nature. Cette anticipation d'une société vouée à une dynamique autodestructrice constitue le point de départ de La Société autophage. Anselm Jappe y poursuit l'enquête commencée dans ses livres précédents, où il montrait – en relisant les théories de Karl Marx au prisme de la " critique de la valeur " – que la société moderne est entièrement fondée sur le travail abstrait et l'argent, la marchandise et la valeur.
Mais comment les individus vivent-ils la société marchande ? Quel type de subjectivité le capitalisme produit-il ? Pour le comprendre, il faut rouvrir le dialogue avec la tradition psychanalytique, de Freud à Erich Fromm ou Christopher Lasch. Et renoncer à l'idée, forgée par la Raison moderne, que le " sujet " est un individu libre et autonome. En réalité, ce dernier est le fruit de l'intériorisation des contraintes créées par le capitalisme, et aujourd'hui le réceptacle d'une combinaison létale entre narcissisme et fétichisme de la marchandise.
Le sujet fétichiste-narcissique ne tolère plus aucune frustration et conçoit le monde comme un moyen sans fin voué à l'illimitation et la démesure. Cette perte de sens et cette négation des limites débouchent sur ce qu'Anselm Jappe appelle la " pulsion de mort du capitalisme " : un déchaînement de violences extrêmes, de tueries de masse et de meurtres " gratuits " qui précipite le monde des hommes vers sa chute.
Dans ce contexte, les tenants de l'émancipation sociale doivent urgemment dépasser la simple indignation contre les tares du présent – qui est souvent le masque d'une nostalgie pour des stades antérieurs du capitalisme – et prendre acte d'une véritable " mutation anthropologique " ayant tous les atours d'une dynamique régressive.[-]
Dans La Société autophage, Anselm Jappe s'intéresse au sujet narcissique-fétichiste, qu'il identifie comme la subjectivité propre au capitalisme de crise. La " critique de la valeur " élargit ici son discours à la sphère des structures psychiques, à la recherche du sujet même de la fétichisation de la marchandise. Ce livre s'adresse à tous ceux qui se préoccupent de la " pulsion de mort " de la société actuelle et qui pensent qu'elle est le ...[+]

MARXISME ; ECONOMIE ; SOCIOLOGIE DU TRAVAIL ; MARCHANDISATION ; PSYCHANALYSE ; VIOLENCE

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y
- 260 p.
Cote : DIV ECO MACRO fed
Le point zéro à partir duquel la révolution se propage est celui où de nouveaux rapports sociaux s'imaginent et se créent, déclenchant une onde qui gagne de proche en proche et renverse les structures de la domination. Ce point zéro, soutient Silvia Federici, est localisé dans la sphère privée, site de la reproduction sociale. Écrits entre 1974 et 2012, les textes réunis dans ce recueil s'articulent précisément autour du concept de reproduction développé par un courant du féminisme marxiste dont Silvia Federici se réclame. Tache aveugle de la théorie marxiste, le travail domestique non rémunéré, essentialisé, est la partie cachée de l'iceberg de l'accumulation capitaliste. D'où la revendication du salaire ménager...[-]
Le point zéro à partir duquel la révolution se propage est celui où de nouveaux rapports sociaux s'imaginent et se créent, déclenchant une onde qui gagne de proche en proche et renverse les structures de la domination. Ce point zéro, soutient Silvia Federici, est localisé dans la sphère privée, site de la reproduction sociale. Écrits entre 1974 et 2012, les textes réunis dans ce recueil s'articulent précisément autour du concept de reproduction ...[+]

FEMINISME ; MARXISME ; GENRE ; COLONIALISME ; CAPITALISME ; ECONOMIE

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