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Centre de documentation pour l'alphabétisation et l'éducation populaire

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Documents LAVAL Christian 6 résultats

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y
- 276 p.
Cote : ENS SOC nouv
Ce livre affiche par son titre un double parrainage, celui de Luc Boltanski et Ève Chiapello, pour Le Nouvel Esprit du capitalisme (Gallimard, 1999), et celui de Christian Baudelot et Roger Establet, pour L'école capitaliste en France (François Maspéro, 1971). Les auteurs soutiennent la thèse que l'école a adopté les formes d'organisation nouvelles du capitalisme mondialisé : management, responsabilisation, évaluation, culture du résultat, etc., et que la logique capitaliste a pénétré son cœur, ses programmes, ses méthodes, son organisation.
L'employabilité est le principe et l'objectif de la normalisation de l'école, de son organisation et de sa pédagogie. L'école devient peu à peu un système hiérarchisé d'entreprises productrices de capital humain au service de l'économie de la connaissance. Elle cherche moins à transmettre une culture et des savoirs qui valent pour eux-mêmes qu'elle ne tente de fabriquer des individus aptes à s'incorporer dans la machine économique. Les effets inégalitaires de la concurrence, la mutilation culturelle introduite par la logique des compétences,… révèlent la perte d'autonomie de l'école par rapport au nouveau capitalisme et aux luttes des classes sociales autour de l'enjeu scolaire. Dans ce livre de combat et de théorie, les auteurs renouvèlent la sociologie critique de l'éducation en inscrivant les mutations de l'institution scolaire dans celles du capitalisme contemporain.[-]
Ce livre affiche par son titre un double parrainage, celui de Luc Boltanski et Ève Chiapello, pour Le Nouvel Esprit du capitalisme (Gallimard, 1999), et celui de Christian Baudelot et Roger Establet, pour L'école capitaliste en France (François Maspéro, 1971). Les auteurs soutiennent la thèse que l'école a adopté les formes d'organisation nouvelles du capitalisme mondialisé : management, responsabilisation, évaluation, culture du résultat, etc., ...[+]

CAPITALISME ; SOCIOLOGIE DE L'EDUCATION ; IDEOLOGIE

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y
- 384 p.
Cote : DIV TRVSOC appe
Nous, professionnels du soin, du travail social, de la justice, de l'éducation, de la recherche, de l'information, de la culture et de tous les secteurs dédiés au bien public, avons décidé de nous constituer en collectif national pour résister à la destruction volontaire et systématique de tout ce qui tisse le lien social.

Réunis sous le nom d'Appel des appels, nous affirmons la nécessité de nous réapproprier une liberté de parole et de pensée bafouée par une société du mépris.

"Demain, lorsque la normalisation des conduites et des métiers régnera définitivement, il sera trop tard. Soin, éducation, recherche, justice seront formatés par la politique du chiffre et la concurrence de tous contre tous. Il ne restera plus à l'information, à l'art et à la culture qu'à se faire les accessoires d'une fabrique de l'opinion pour un citoyen consommateur..."

"...Face à de prétendues réformes aux conséquences désastreuses, les contributeurs, psychanalystes, enseignants, médecins, psychologues, chercheurs, artistes, journalistes, magistrats, dressent l'état des lieux depuis leur coeur de métier et combattent la course à la performance qui exige leur soumission et augure d'une forme nouvelle de barbarie.

L'Appel des appels prône le rassemblement des forces sociales et culturelles. Il invite à parler d'une seule voix pour s'opposer à la transformation de l'Etat en entreprise, au saccage des services publics et à la destruction des valeurs de solidarité humaine, de liberté intellectuelle et de justice sociale. Il témoigne qu'un futur est possible pour " l'humanité dans l'homme ". Il est encore temps d'agir.

L'insurrection des consciences est là, partout, diffuse, grosse de colère et de chagrin. La résistance de ces milliers de professionnels et de citoyens qui ont répondu à L'Appel des appels touche nos sociétés normalisées en un point stratégique.

En refusant de devenir les agents du contrôle social des individus et des populations, en refusant de se transformer en gentils accompagnateurs de ce nouveau capitalisme, nous appelons à reconquérir l'espace démocratique de la parole et de la responsabilité."[-]
Nous, professionnels du soin, du travail social, de la justice, de l'éducation, de la recherche, de l'information, de la culture et de tous les secteurs dédiés au bien public, avons décidé de nous constituer en collectif national pour résister à la destruction volontaire et systématique de tout ce qui tisse le lien social.

Réunis sous le nom d'Appel des appels, nous affirmons la nécessité de nous réapproprier une liberté de parole et de pensée ...[+]

POLITIQUE SOCIALE ; CONSCIENTISATION ; DROITS DE LA PERSONNE ; PENSEE CRITIQUE ; PROJET DE SOCIETE ; EDUCATION ; SANTE ; SANTE MENTALE ; TRAVAIL SOCIAL ; CULTURE

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- 247 pages
Cote : DIV ECO dar
Comment expliquer l'insolente victoire des forces pourtant responsables de la crise économique de 2008, l'une des pires depuis 1929 ? Comment expliquer que, en dépit du chaos qu'il a généré et des désastres qu'il continue de préparer, le néolibéralisme soit sorti renforcé de la crise ? Pour Dardot et Laval, le néolibéralisme est tout autre chose qu'une théorie qui aurait " failli " : c'est un véritable mode de gouvernement des sociétés, en train de réaliser la sortie de la démocratie.

Comment expliquer l'étrange survie des forces pourtant responsables de la crise économique de 2008, l'une des pires depuis 1929 ? Comment expliquer que le néolibéralisme soit sorti renforcé de la crise ? Au moment de son déclenchement, nombre d'économistes parmi les plus célèbres avaient hâtivement annoncé sa " mort ". Ils n'ont vu dans la poursuite des politiques néolibérales que le résultat d'un entêtement doctrinal.
Pour Pierre Dardot et Christian Laval, le néolibéralisme n'est pas qu'un simple dogme. Soutenu par des oligarchies puissantes, il est un véritable système politico-institutionnel obéissant à une logique d' autorenforcement. Loin d'être une rupture, la crise est devenue un mode de gouvernement d'une redoutable efficacité.
En montrant comment ce système s'est cristallisé et solidifié, le livre explique que le verrouillage néolibéral a réussi à entraver toute correction de trajectoire par la désactivation progressive de la démocratie. Accroissant le désarroi et la démobilisation, la gauche dite " gouvernementale " a contribué très activement au renforcement de la logique oligarchique. Ceci peut conduire à la sortie définitive de la démocratie au profit d'une gouvernance expertocratique soustraite à tout contrôle.
Pourtant, rien n'est encore joué. Le réveil de l'activité démocratique, que l'on voit se dessiner dans les mouvements et expérimentations politiques des dernières années, est le signe que l'affrontement politique avec le système néolibéral et le bloc oligarchique a déjà commencé.[-]
Comment expliquer l'insolente victoire des forces pourtant responsables de la crise économique de 2008, l'une des pires depuis 1929 ? Comment expliquer que, en dépit du chaos qu'il a généré et des désastres qu'il continue de préparer, le néolibéralisme soit sorti renforcé de la crise ? Pour Dardot et Laval, le néolibéralisme est tout autre chose qu'une théorie qui aurait " failli " : c'est un véritable mode de gouvernement des sociétés, en train ...[+]

CAPITALISME ; CRISES ECONOMIQUES ; UNION EUROPEENNE ; DEMOCRATIE

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- 232 p.
Cote : ASOC lav
Ce livre offre un projet systémique qui considère les institutions d'éducation comme un tout, depuis l'école élémentaire jusqu'à l'enseignement supérieur, et ne sépare pas la transformation de l'éducation de celle de l'ensemble de la société. Son ambition est de dessiner les traits fondamentaux d'une éducation démocratique encore à venir, et de l'inscrire pleinement dans une société solidaire, écologique et égalitaire. critique complète in http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2021/09/21092021Article637678051090721737.aspx[-]
Ce livre offre un projet systémique qui considère les institutions d'éducation comme un tout, depuis l'école élémentaire jusqu'à l'enseignement supérieur, et ne sépare pas la transformation de l'éducation de celle de l'ensemble de la société. Son ambition est de dessiner les traits fondamentaux d'une éducation démocratique encore à venir, et de l'inscrire pleinement dans une société solidaire, écologique et égalitaire. critique complète in ...[+]

PHILOSOPHIE DE L'EDUCATION ; DEMOCRATIE ; EDUCATION A LA CITOYENNETE (ENSEIGNEMENT) ; SYSTEME SCOLAIRE ; SOCIOLOGIE DE L'EDUCATION

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y
- 590 p.
Cote : DIV SC-HUM dar
Partout dans le monde, des mouvements contestent l'appropriation par une petite oligarchie des ressources naturelles, des espaces et des services publics, des connaissances et des réseaux de communication. Ces luttes élèvent toutes une même exigence, reposent toutes sur un même principe : le commun.
Pierre Dardot et Christian Laval montrent pourquoi ce principe s'impose aujourd'hui comme le terme central de l'alternative politique pour le XXIe siècle : il noue la lutte anticapitaliste et l'écologie politique par la revendication des « communs » contre les nouvelles formes d'appropriation privée et étatique ; il articule les luttes pratiques aux recherches sur le gouvernement collectif des ressources naturelles ou informationnelles ; il désigne des formes démocratiques nouvelles qui ambitionnent de prendre la relève de la représentation politique et du monopole des partis.
Cette émergence du commun dans l'action appelle un travail de clarifi cation dans la pensée. Le sens actuel du commun se distingue des nombreux usages passés de cette notion, qu'ils soient philosophiques, juridiques ou théologiques : bien suprême de la cité, universalité d'essence, propriété inhérente à certaines choses, quand ce n'est pas la fin poursuivie par la création divine. Mais il est un autre fil qui rattache le commun, non à l'essence des hommes ou à la nature des choses, mais à l'activité des hommes eux-mêmes : seule une pratique de mise en commun peut décider de ce qui est « commun », réserver certaines choses à l'usage commun, produire les règles capables d'obliger les hommes. En ce sens, le commun appelle à une nouvelle institution de la société par elle-même : une révolution.
critique complète in https://journals.openedition.org/vertigo/15718[-]
Partout dans le monde, des mouvements contestent l'appropriation par une petite oligarchie des ressources naturelles, des espaces et des services publics, des connaissances et des réseaux de communication. Ces luttes élèvent toutes une même exigence, reposent toutes sur un même principe : le commun.
Pierre Dardot et Christian Laval montrent pourquoi ce principe s'impose aujourd'hui comme le terme central de l'alternative politique pour le XXIe ...[+]

PENSEE CRITIQUE ; COMMUNISME ; ECONOMIE ; POLITIQUE ; CAPITALISME ; ACTION COMMUNAUTAIRE ; PAUVRETE ; PROJET DE SOCIETE ; COOPERATION

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- 80 p.
Cote : PEDA COGN blay
Les neurosciences ont fait de grandes avancées dans la connaissance du fonctionnement cérébral et la neurobiologie ouvre des possibilités nouvelles pour les traitements de pathologies et de traumatismes. Il ne faudrait pas que de telles élucubrations, comme celles qui sont abusivement désignées par « neuropédagogie » discréditent auprès du grand public les recherches en cours. L'ouvrage de Michel Blay et Christian Laval arrive à point nommé pour contribuer à démystifier cette offensive,
critique complète in https://blogs.mediapart.fr/edition/laicite/article/200619/neuropedagogie-le-cerveau-au-centre-de-l-ecole-un-livre-de-m-blay-et-c-laval[-]
Les neurosciences ont fait de grandes avancées dans la connaissance du fonctionnement cérébral et la neurobiologie ouvre des possibilités nouvelles pour les traitements de pathologies et de traumatismes. Il ne faudrait pas que de telles élucubrations, comme celles qui sont abusivement désignées par « neuropédagogie » discréditent auprès du grand public les recherches en cours. L'ouvrage de Michel Blay et Christian Laval arrive à point nommé pour ...[+]

NEUROSCIENCES ; PENSEE CRITIQUE ; PHILOSOPHIE DE L'EDUCATION

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